Amour et conquête a été sélectionné roman de littérature québécoise de la semaine du 1er décembre sur le site Planète Québec.
http://planete.qc.ca/culture/livres/quebecois/index.html

Ci-haut, cette lithographie intitulée : Nouvelle résidence du gouverneur est signée ''by a Lady ''. Le site New Brunswick : our stories, our people, créé par le Virtual Museum Canada avance que l'oeuvre a été créée '' probablement par une des trois filles de Sir Howard Douglas '',  le 3e lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick. Il est toutefois plus probable qu'elle ait été faite par Anna Maria Love, l'épouse du Lt.-Coll. James Frederick Love du 52e Régiment, car cette dernière a réalisé d'autres peintures dont le style s'apparente grandement.

À la suite de l'incendie de la première résidence en 1825, Howard commande la construction de ce bâtiment de style géorgien à l'architecte John Elliot Woolford, maître général de caserne des régiments britanniques en garnison à Frédéricton. Les travaux s'effectueront de 1826 à 1828.

En 1894, la résidence fermera pour des raisons financières. Elle servira de caserne militaire de 1914 à 1921 et d'hôpital militaire jusqu'en 1924. En 1999, elle redevient demeure du lieutenant-gouverneur, et outre les appartements du représentant ou de la représentante de la Couronne, elle est ouverte au public. Elle est sise au 51, chemin Woodstock à Frédéricton.

Le pavillon Sir Howard Douglas se situe sur le campus de l'Université du Nouveau-Brunswick à Frédéricton. C'est le bâtiment universitaire le plus ancien encore en opération sur un campus de langue anglaise au Canada. Il est à l'origine le Collège King, fondé par Howard Douglas en 1831, puis l'édifice des arts de l'Université ( Old Arts Building ). Il est devenu aujourd'hui un musée et abrite documents historiques et artefacts. Un vitrail à l'effigie de Sir Howard se trouve dans le Grand Hall du pavillon.

C'est le même architecte, John Elliot Woolford, qui avait réalisé les travaux de 1826 à 1829.

 Sir Charles Douglas

Je dévoile maintenant le visage de deux personnages du roman ! Ci-haut : Charles Douglas, le père de Howard. Personnage pittoresque... L'amiral mesurait près de deux mètres !
Le tableau a été peint par John Jones et terminé par Henry Singleton en 1791.C'est le tableau devant lequel Howard se retrouve lorsqu'il revient en Écosse dans le chapitre : Les collines écossaises... et qu'il compare son père à Gulliver chez les Lilipuciens.

 Sir Howard Douglas

Cette lithographie dessinée par T. Crane et publiée par William Burtland à Liverpool date de 1835. Howard Douglas avait donc 59 ans l'année où il a été fait grand-croix de l'ordre de Saint-Michel et de l'ordre de Saint-Georges. On le voit justement décoré de ses médailles. En 1841, il aura de plus l'honneur de devenir grand-croix de l'ordre du bain.

  Sir Howard Douglas

Voici le fameux tableau que Howard avait offert à Catherine et Marguerite !
Le portrait a été conservé dans la famille jusqu'en 1943. À la mort de Marguerite, sa fille Constance le conservera, puis il passera aux mains de la fille de Constance, Alice, ensuite au fils d'Alice, Joseph Pacaud. Ce dernier le vendra au Musée du Nouveau-Brunswick à Saint-Jean, où il se trouve encore actuellement.

 Sir Howard Douglas

Howard dans ses vieux jours. La photo est de William Holl Jr. et a été publiée en 1863 par John Samuel       Murray. Howard était décédé en 1861 à l'âge de 86 ans. Le portrait est la propriété du National Portrait Gallery de Londres.

                                                                Sir Howard Douglas
En 1851 à 75 ans, Howard est élevé au grade de général du 15e Régiment d'Infanterie. 
On peut dire que c'est un bel homme ! Ce portrait est publié dans Memories of the past by Mrs. Francis Dawkins, source de première main, puisque Mrs. Dawkins était la fille aînée de Anne Dundas et de Howard Douglas, et se prénommait également Anne. Il y a en outre dans cet ouvrage conservé à la Bibliothèque et Archives Canada à Ottawa un portrait assez diffus de Howard à l'âge de 20 ans, au moment donc où il fréquentait Catherine ! On discerne néanmoins assez bien son visage. Il avait le même visage long, mais ses cheveux étaient foncés et il avait de longs favoris, comme je les ai décrits dans le roman.

Amour et conquête est édité en version papier et numérique sur FriesenPress et diffusé en version numérique sur FriesenPress, Amazon, Google books et plusieurs autres supports électroniques.

Liste des librairies où mon roman est également disponible :

Québec 
- Vaugeois, 1300, avenue Maguire, Québec, G1T 1Z3, T. 418-681-0254
- Pantoute, 1100, rue Saint-Jean, Québec, G1R 1S5, T. 418-694-9748

Montréal
- Du Square, 3453, rue Saint-Denis, Montréal, H2X 3L1, T. 514-845-7617
- Paulines, 2653, rue Masson, Montréal, H1Y 1W3, T. 514-849-3585
- Olivieri, 5219, Côte-des-Neiges, Montréal, H1Y 1W3, T. 514-739-3639
- Librairie de Verdun, 4455, rue Wellington, Verdun, H4G 1W6, T. 514-769-2321
- Raffin, 7275, rue Sherbrooke Est (Place Versailles), Montréal, H1N 1E9, T. 514-354-1001
- Raffin, 6330, rue Saint-Hubert, Montréal, H2S 2M2, T. 514-274-2870
- Monet, Galerie Normandie, 2752, rue de Salaberry, Montréal, H3M 1L3, T. 514-337-4083
- Gallimard, 3700, boul. St-Laurent, Montréal, H2X 2V4, T. 514-499-2012

Laval
- Imagine, 351, boul. Samson, bureau 300, Laval, H7X 2Z7, T. 450-689-8131

Rive-Sud

- Alire, 825, rue St-Laurent Ouest, Longueuil, J4K 2V1, T. 450-679-2781
- Buropro/Citation (Beloeil), 600, boul. Sir-Wilfrid-Laurier, Beloeil, J3G 4J2, T. 450-464-6464
- Au Carrefour, 1001 boul.De Montarville, local 9A, Boucherville, J4B 6P5, T. 450-449-5601

Rive-Nord
- Raffin, 100, boul. Brien, Repentigny, J6A 5N4, T. 450-581-9892
- Ste-Thérèse, 1, rue Turgeon, Ste-Thérèse, J7E 3H2, T. 450-435-6060

Montérégie

- Au Carrefour, 600, rue Pierre-Caisse, Suite 660, St-Jean-sur-Richelieu, J3A 1M1, T. 450-349-7111
- Moderne, 1001, boul. du Séminaire Nord, St-Jean-sur-Richelieu, J3A 1K1, T. 450-349-4584
- Larico, 1255, Périgny, Chambly, J3L 2Y7, T. 450-658-4141
- Galeries de Granby, 40, rue Évangéline, Granby, J2G 8K1, T. 450-378-9953
- Daigneault, 1682, rue des Cascades, Saint-Hyacinthe, J2S 3H8, T. 450-773-8586


J'ai aussi une page Facebook : www.facebook.com/amouretconquete 

Voici l'arbre généalogique de mon héroïne Catherine Normandeau dit Deslauriers depuis son arrivée en Nouvelle-France :

1- Jacques Normandeau et Catherine Boismoreau
2- Augustin Normandeau ( 1665-1712) et Marie-Madeleine Sasseville (1678-1754), de Bourg-Royal
3- Pierre Normandeau (1697-1777) et Marguerite Rancourt (1696-1756), mariés le 14-08-1719
Pierre Normandeau était maître-menuisier. Il épouse en seconde noce Agathe Lacroix. Il meure avec sa femme dans un incendie le 20-08-1777 en Montérégie.
4- Louis-Pierre Normandeau (1734-1777) et Marguerite Charlery (1746-1798), mariés le 10-06-1765
Louis-Pierre avait épousé en première noce Marie-Cécile Gosselin, qui est décédée le 11-06-1764.
Il était menuisier. Il meurt dans le même incendie que son père le 20-08-1777.
5- Catherine Normandeau (1776-1855)
Catherine a un frère aîné, Louis Normandeau (1768-1818). Peut-être aurait-elle également eu une soeur, Thérèse, mais cela reste très incertain.

Voici l'arbre généalogique de la mère de Catherine, Marguerite Charlery dit Lavaleur, depuis son arrivée en Nouvelle-France :

1- François-Charles Charlery et Renée Fouassier
2- François-Charles Charlery (1691-1749) et Marie-Marguerite Leclerc (1692-1751), mariés en 1713 à l'église Notre-Dame de Québec. François-Charles était charpentier et soldat d'Alogny. Il vivait au 71, rue Ste-Anne à Québec.
3- Michel Charlery (1724-?) et Marguerite-Rosa Barthélémy (1720-1760)
Michel Charlery était charpentier et soldat d'Alogny. Il épouse en seconde noce Charlotte Moras en 1761.
4- Marguerite Charlery (1746-1798) et Louis-Pierre Normandeau (1734-1777), mariés le 10-06-1765.
Marguerite naît le 13 juin 1746 et meurt subitement le 18 février 1798.

Voici maintenant l'arbre généalogique de mon héros, Howard Douglas, depuis le XIIe siècle !!! jusqu'à mes filles.... Ces descendants ne comptent bien entendu que parmi les milliers de mes ancêtres...

1- Sir William Douglas (1174-1213) et Margaret de Kerdal
2- Sir Archibald Douglas (1213-1240) et Margaret Crawford de Crawford (1195- ?)
3- Sir Andrew Douglas de Hermiston (1225-1259) et ?
Il est à la base de la lignée des comtes de Morton.
4- Sir William Douglas de Hermiston et Linlithgow (1245- ?) et ?
5- Sir James Douglas de Lothian ( ?- 1323) et ?
6- Sir John Douglas ( ?- 1350) et Agnes Dunbar
7- Sir Henry Douglas de Lugton et Lochleven et Marjory Stewart de Ralston, morte vers 1438
8- Sir William Douglas de Lochleven ( ?-1421) et Marjory Lindsay
9- Sir Henry Douglas de Lochleven et Elizabeth Erskine
10- Sir Robert Douglas de Lochleven ( ?- 1513) et Elizabeth Boswell
Sir Robert est mort lors de la bataille de Flodden le 9 septembre 1513
11- Sir Robert Douglas de Lochleven et Margaret Hay of Erroll
12- Sir Thomas Douglas de Lochleven et Elizabeth Boyd
13- Sir Robert Douglas de Lochleven (1520-1547) et Margaret Erskine de Mar, morte en 1572
Margaret Erskine avait été avant son mariage avec Sir Robert la maîtresse de Jacques V d'Écosse et avait eu du roi plusieurs enfants, notamment Murray, qui sera régent d'Écosse après la destitution de sa demi-soeur, la reine Marie Stuart.
14- Sir William Douglas de Kirkness (1540-1606), 6e comte de Morton et Agnes Leslie de Rothes ( ?- 1594)
15- Sir Georges Douglas de Kirkness ( ?-1609), 1er comte de Kirkness et Margaret Forrester
C'est Sir George, qui adolescent et à l'insu de sa grand-mère Margaret Erskine, a délivré la reine Marie Stuart du château de Lochleven.
16- Sir Archibald Douglas (1600-1620), 2e comte de Kirkness et ?
17- Sir William Douglas (1621-1650), 3e comte de Kirkness et ?
18- Sir William Douglas (1644-1683), 4e comte de Kirkness et Elizabeth Kirkcaldy
19- Sir William Ayton Douglas de Kinglassie (1665- ?) et Helen Ayton (1675-1697)
Comme il n'est pas l'aîné de sa famille, il héritera des titres, du nom et des terres des Ayton par mariage.
20- Charles Ayton Douglas de Kinglassie (1700-1744) et Christian Hepburn ( ?-1788)
Charles Ayton Douglas était médecin. Christian Hepburn était d'origine hollandaise
21- Sir Charles Douglas, baronnet de Carr (1727-1789) et Sarah Wood ( ?- 1779)
Contre-amiral, Sir Charles a été anobli par la Couronne Britannique pour avoir repoussé les Américains lors de l'Invasion au Canada en 1776. Notons que le titre des Douglas de Kirkness s'était éteint en 1747.
22- Sir Howard Douglas, 3e baronnet de Carr (1776-1861) et Catherine Normandeau dit Deslauriers (1776-1855)
Général de l'armée britannique, il mariera Ann Dundas en 1799. Catherine Normandeau mariera Louis Claisse, boulanger à Québec en 1815.
23- Marguerite Douglas (1797-1862) et Jean-Baptiste Delâge dit Lavigueur (1787-1858)
Marguerite est la fille illégitime de Howard Douglas et Catherine Normandeau.
Jean-Baptiste est boulanger.
24- Célestin Lavigueur (1831-1885) et Marie Childs (1838-1886)
Célestin est musicien et poète. Célestin et Marie sont morts et inhumés à Lowell au Massachusetts
25- Henri-Edgar Lavigueur (1867-1943) et Alice Chandonnet (1872-1952)
Henri-Edgar a été propriétaire des magasins de musique Lavigueur&Hutchison, maire de la ville de Québec de 1916 à 1920 puis de 1930 à 1934, et député libéral au fédéral de 1917 à 1930.
26- Madeleine Lavigueur (1913-2013) et Achille Pettigrew (1896-1968)
Achille a été commandant de la marine à Québec de 1923 à 1943, avocat puis juge de la cour des Sessions de la Paix de 1943 à 1967.
27- Claudette Pettigrew (1934-   ) et Claude Royer (1926-    )
Claude Royer est notaire et homme d'affaires à Québec
28- Caroline Royer (1962-    ) et Jean Fillion (1959-    )
Mon frère aîné s'appelle Jean (1958-    ) et Sylvie (1959-    ) est ma soeur aînée. Nicolas (1996-    ) est le fils de Sylvie.
29- Sarah (1986-    ) et Frédérique Royer Fillion (1989-    )

Allocution prononcée lors du lancement :

Bonjour à tous. Bienvenue au lancement d’Amour et Conquête !

Je voudrais d’abord vous remercier de votre présence. Je suis vraiment contente que vous soyez ici en ce jour important pour moi. Ça fait chaud au cœur de voir familles et amis réunis.

Je tiens à remercier particulièrement ma mère Claudette – Maman, un gros merci – et ma belle-mère, Madeleine – Mado pour les intimes -, pour leur précieuse aide dans l’organisation de ce lancement. Elles ont fait une couple de téléphones…

Je voudrais également souligner le soutien inestimable que Jean, mon mari, m’a apporté. Comme je le mentionne dans les remerciements à la fin du roman, Jean m’a épaulé dans le long processus de l’édition, et il m’a encore une fois beaucoup aidé pour préparer l’événement d’aujourd’hui.

Je remercie aussi mes deux belles grandes filles, Sarah et Frédérique, pour leur soutien et leurs conseils. C’est Sarah qui a mis en ligne mon blogue amouretconquete, dont je vais vous reparler plus tard. Merci à Frédérique et ma filleule Anne-Marie, mes photographes officielles. Merci à ma sœur Sylvie, ma trésorière et mon ange-gardien. Merci à Marie-Claude, ma belle-sœur, pour les chocolats Lindt. Merci à tout le monde qui m’a aidé. Je ne peux pas tous vous nommer. Je vous remercie sincèrement.

Enfin, j’aimerais exprimer ma gratitude à M. Gaston Beaulieu, le responsable de l’édifice Louis-Audette, où l’on se trouve présentement, pour m’avoir donné la chance de tenir ce lancement, ici-même, dans le mess des officiers de la marine. Car cet emplacement dans le Vieux-Port juste à l’entrée du bassin Louise symbolise bien notre histoire et notre identité. Ce fut en effet la porte d’entrée des premiers arrivants de langue française sur le Continent.

J’ai choisi ce lieu aussi parce que l’un des héros de mon roman, Howard Douglas, avait un lien particulier et une passion pour la navigation. Son père était l’amiral Charles Douglas, qui, à la tête d’un escadron, réussit à déloger les Américains qui avaient envahi et assiégé Québec en 1775, prenant ces derniers par surprise en se frayant un chemin à travers les glaces du Saint-Laurent tôt au mois de mai 1776 et qui, avec l’aide du général Guy Carleton, repoussa l’ennemi sur la rivière Richelieu vers le lac Champlain à l’automne suivant.

Enfin, ce lieu a une résonnance toute personnelle pour moi, car l’école des forces navales – qui est tout près, de biais avec ici – porte le nom de mon grand-père, Achille Pettigrew, qui a fondé la marine à Québec en organisant en 1923 une unité de volontaires de la Royal Canadian Navy – ce n’était pas francisé à l’époque – et qui a été lieutenant-commandant jusqu’en 1943.

Vous vous demandez maintenant sans doute pourquoi j’ai choisi comme sujet un jeune lieutenant de l’armée britannique qui est venu ici en 1796 – donc vingt ans après son père -, disons-le pour nous déranger… Eh bien… Parce que, apparemment…, il serait l’un de mes ancêtres en même temps que celui de tous les membres de la famille Lavigueur. Mais c’est aussi une Royer qui a écrit le livre.

Ma grand-mère, Madeleine Lavigueur Pettigrew – la femme d’Achille – nous parlait à l’occasion de la vie trépidante d’un mystérieux lord venu un jour au Canada, et à un moment donné, je me suis dit que cette vie d’aventures pourrait faire l’objet d’un roman intéressant. Je me suis alors mise à faire des recherches et il s’est avéré que la légende familiale était en grande partie… fondée.

La biographie sur le musicien Célestin Lavigueur qu’un membre de la famille a publié en 2005, et qui est ici ce soir, Magdeleine Bourget  - comme vous voyez, j’ai beaucoup de Madeleine dans ma vie – m’a fourni des pistes de départ importantes sur la généalogie des Lavigueur.

Ensuite, j’ai pu m’appuyer sur deux livres qui ont été écrits spécifiquement sur Howard Douglas. The life of Howard Douglas, qui a été édité peu de temps après sa mort en 1863 et Redcoat sailor. The Adventures of Sir Howard Douglas, qui est un récit paru en 1956 et créé à partir des mémoires de l’un des fils de Howard. La fille de Howard, Anne, a pour sa part également écrit ses mémoires. Memories of the past by Mrs Francis Dawkins, conservé à la Bibliothèque et Archives Canada, m'ont aussi été d'une aide précieuse pour connaître la vie domestique de mes personnages. Comme c’est un roman historique basé sur une histoire vécue, j’ai eu recours également à de nombreux livres de référence, livres et articles spécialisés, ainsi que de la documentation sur internet.

Aussi en 2009, au cours de mes recherches, un livre sur l’amiral Charles Douglas intitulé : Fortune’s Favorite Sir Charles Douglas and the Breaking of the line, a été écrit par Christopher Valin. Magdeleine Bourget et moi, avons donc correspondu avec Christopher, qui s’est révélé aussi être un membre de la famille éloignée, qui est américain et qui réside en Californie. Il nous a transmis des documents qu’il avait lui-même reçus de descendants écossais Douglas et qui ont répondu à plusieurs questions dont j’étais incapable de répondre depuis un bon moment.

Mon roman sera en librairie au courant du mois d’octobre. Les gens peuvent aussi se le procurer dès maintenant, version papier ou numérique, sur FriesenPress – qui est ma maison d’édition – ou Amazon, ou toutes compagnies qui offrent les supports de lecture numérique en français. Évidemment, j’aurai toujours des copies avec moi et il me fera plaisir de vous les transmettre.

Comme je l’ai dit tantôt, j’ai par ailleurs créé un blogue pour Amour et Conquête, qui sera un complément du roman. Je vais y mettre au fur et à mesure des informations et des illustrations que je ne pouvais mettre dans le livre. D’ailleurs il y aura des photos du lancement dans les prochaines semaines. L’adresse est inscrite sur le signet que je vous ai remis avec le livre.

Je ne veux pas vous entretenir trop longtemps. Il y a beaucoup de gens ici qui veulent se voir ou se connaître. Merci pour votre écoute. Encore merci d’être là. Bonne soirée et surtout Bonne lecture ! J’espère que vous passerez du bon temps en compagnie de Howard Douglas et de Catherine Normandeau dit Deslauriers.

Le lancement du roman qui s'est déroulé mercredi le 17 septembre dernier à Québec a été un succès !
Une centaine de personnes y ont assisté.
Quelques photos...